Cet ennemi invisible qui vous coûte si cher :
Quelle que soit la source d’énergie, ou le type de chaudière ou de pompe à chaleur, le principe de base de votre chauffage central est toujours le même ; faire chauffer de l’eau qui circule dans vos radiateurs ou votre plancher chauffant et vous apporter les calories nécessaires à votre confort général durant les longues et froides nuits d’hiver.
L’entretien de vos installations par un professionnel est une obligation, ne serait-ce que pour éviter toute panne, tout incident mais aussi préserver votre confort tout au long de l’année.
Il demeure néanmoins un ennemi naturel et invisible auquel les techniciens de la profession font de plus en plus souvent face pour éviter de faire flamber votre facture énergétique à l’heure où le moindre Kilowatt voit son coût exploser, et éviter le remplacement intempestif de pièces, souvent couteuses et non-couvertes par les garanties constructeurs.
La boue de chauffage, cet ami qui ne vous veut pas du bien.
Je veux parler de la boue ! cette rouille qui s’installe silencieusement dans vos canalisations, remplit vos radiateurs, bouche vos planchers chauffants, fait surconsommer votre chaudière ou votre pompe à chaleur comme le cholestérol et l’hypertension s’évertuent à fatiguer notre cœur.
Pour les mêmes raisons que vos outils rouillent dans le jardin, ou que votre eau de piscine verdit sans traitement, l’eau du réseau de chauffage nécessite toute votre attention. La corrosion, un phénomène naturel et silencieux, s’attaque à vos canalisations, et fabrique des débris appelés oxydes de fer. Selon les conditions cela peut mettre plusieurs années à s’installer, mais avec l’avènement des basses températures et la réduction de la taille des canalisations et des échangeurs thermiques plus performants, le phénomène peut rapidement apparaître dès quelques mois.
Le plancher chauffant, véritable intestin géant, favorise, comme son homologue animal, la prolifération de bactéries, de champignons qui se développent sous forme de biofilm et d’algues, particulièrement à l’aise dans cet élément aquatique et chaud.
Tout ce joyeux écosystème incidieux, favorise donc la formation de la boue, qui corrode, ronge, perce, bouche vos installations jusqu’à la panne après de longs mois de surconsommation et d’inconfort.
La chambre du fond chauffe mal alors que j’ai le robinet thermostatique à fond !
Quels sont les symptômes docteur ? un radiateur qui chauffe de plus en plus mal malgré le robinet ouvert, une zone de plancher froide, des parties basses de radiateurs froides, des bruits de claquement, de circulation plus en plus perceptibles, une pompe à chaleur qui se coupe inopinément, l’eau chaude qui tarde de plus en plus à arriver tiède, une nette et constante augmentation de la facture énergétique, des chutes de pression régulières, de l’eau noire ou malodorante quand on purge un radiateur…. Autant de symptômes qui doivent vous alerter sur l’état de santé de votre installation.
L’arrêté du 24 juillet 2020 sonne la fin de la récré :
Conscientes du surcoût que cela représente pour le particulier, mais aussi pour le professionnel qui se déplace malgré son emploi du temps surchargé, mais aussi dans la perspective de l’économie d’énergie et de la réduction des émissions de gaz à effets de serre, les instances réglementaires ont rendu obligatoire le contrôle de « l’embouement » de vos installations lors de l’entretien annuel.
L’objectif étant de permettre au professionnel d’assurer son devoir de conseil en toute quiétude et de proposer des travaux d’amélioration énergétique avec la pose de filtres à boues, le traitement anticorrosion dans les installations et souvent le désembouage complet consistant à un nettoyage et une désinfection de vos réseaux afin de rétablir la performance initiale de votre chauffage.
C’est super tout ça mais combien ça va encore nous coûter ?
La vraie question est : combien cela me coute-t-il si je ne le fais pas ? Si on additionne les interventions, les déplacements, le remplacement de pièces qui ne règlent que des conséquences et jamais des causes, et surtout le surcoût énergétique annuel, il y a de fortes chances que cela me coute plusieurs fois, et ce chaque année, le prix désembouage et la pose de filtres et de traitements qui eux, ne se font qu’une seule fois. Ne pas de désembouage sur une installation est un peu comme prendre le pari de rouler sans assurance en sommes, au motif que celle-ci couterait trop cher.
Le devis sera donc fait au cas par cas, par le professionnel, qui déterminera le temps nécessaire à l’achèvement des travaux, les produits, la méthode idéale selon la configuration du réseau et le dimensionnement du filtre adapté à votre installation.
Robert Orben disait : « Si vous trouvez que l’éducation coûte cher, essayez l’ignorance » Cet adage d’une sagesse infinie s’applique à notre réflexion. Si vous trouvez que le désembouage coûte cher, essayez la panne et l’inconfort.
Le désembouage est une forme d’assurance que l’on ne paie qu’une fois, et qui nous évite à coups surs l’accident de parcours.
Nos pompes à chaleur sont des formule 1, il leur faut un carburant de compétition.
C’est pour toutes ces raisons précises qu’Adey a choisi pour mission d’accompagner les professionnels du chauffage, les former, leur apporter des solutions premium de filtration et de traitements pour contribuer à la réduction des émissions de gaz à effets de serre, la maîtrise des coûts énergétiques et le confort des particuliers qui souhaiteraient voir leur chauffagiste, comme ils verraient leur docteur, pour ne simplement leur dire que tout va bien, ou si possible le moins souvent.
Adey est hyper spécialiste de la boucle thermique en proposant des systèmes de filtration depuis la chaudière murale, jusqu’aux réseaux collectifs et industriels. Des traitements universels adaptés à tous les matériaux, aux radiateurs et planchers chauffants, respectueux de l’environnement et sans risque de surdosage.
Tout l’écosystème Adey est tourné vers la performance, la praticité et la modularité. Les professionnels ne s’y trompent pas, les 6 millions de particuliers qui ont accueilli un filtre Adey non plus.
Enfin analyser instantanément l’état de santé de votre installation, comme un médecin qui ferait une glycémie dans son cabinet, est enfin rendu possible grâce au ProCheck, véritable outil diagnostic au service des professionnels, en alignement avec l’arrêté du 24 juillet 2020.
Nous vous recommandons, chaudement, si toutefois votre réseau de chauffage vous le permet, d’en faire part à votre chauffagiste, afin qu’il réalise un diagnostic de l’état d’embouement de votre installation, et ne vous fasse réaliser de précieuses économies d’énergie, à l’heure où cette même denrée devient un produit de luxe. A moins que l’hypothèse d’accumuler les couches de laine, comme un oignon dodu ne soit une fin en soi, nous avouerons que cela a aussi son charme…